BIOGRAPHIE

                                                    

         Après avoir quitté son Nord natal, Alain delattre de son pseudonyme Alde, réside aujourd'hui à Vairé, petite commune de Vendée. Il se réfugie dès sa jeunesse dans son passe temps favori, le dessin. A l’âge de 14 ans, il entre aux beaux-Arts de Valenciennes enseigné par des professeurs Prix de Rome parmi lesquels R. Barillot, J. France et H. Derycke pour la sculpture  puis continue sa formation à l’atelier Charpentier à Paris. Son service militaire terminé il travaille dans différentes agences de publicité, de presse et d’éditions comme graphiste qu’il pratiquera également en indépendant pendant plusieurs années, c’est aussi l’époque de ses premières expositions. Aujourd’hui il partage son temps entre sa passion de toujours, sa peinture, ses expositions dans différentes régions de France, parfois à l’étranger, en solo, en groupe et se distingue lors de nombreux salons.

 

 

                                                                                                                

 

 

DEMARCHE 

 

          Alain delattre de par sa technique s’inscrit dans le courant des peintres hyperréalistes. Il puise son inspiration auprès de ses contemporains comme point de départ à son travail. Sa peinture met en scène trés souvent des femmes, ou divers sujets dans une silencieuse atmosphère. La photo est devenue l’intermédiaire obligé dans sa démarche, elle lui permet d’immobiliser le jour, le temps, le modèle et tous les détails. Elle permet également de prendre une distance avec le sujet en sélectionnant une expression, une attitude, un mouvement par des cadrages parfois surprenants. C’est ainsi qu’il cherche à rendre hommage à la beauté par la maitrise du travail de la lumière ; que la lumière est partout, dans les cheveux des filles, sur leur peau, sur les pliures de leurs vêtements, de fixer l’instant furtif où la lumière irise la matière, lui donnant sa peau mais aussi le moment où elle se loge dans le relief riche et varié du pli '’ et la robe prend corps, le cache, le révèle et souvent nous trouble par sa sensualité '’. Il dessine directement sur la toile, ne projette pas de photo et n’utilise pas d’aérographe. Son combat est celui du pinceau, de sa relation avec la toile. Il emploie l’acrylique, l’huile, généralement sur des grands formats qui lui permettent d’aller plus loin dans le détail. Il travaille également le pastel. la sanguine.